Mille raisons de constater l’inextricable.
L’aspiration à une cohérence, sinon à une unité,
se heurte à la profusion naturelle. Et si la nature jouait
par mimétisme de la confusion de nos sentiments.
On peut éprouver un véritable
vertige devant certaines impossibilités de nommer. Les mots n’existent
pas pour la plupart des manifestations de la nature, ou alors il en faudrait
des centaines pour rendre compte de trois brindilles. Les arbres en particulier
peuvent se moquer cruellement de nos déficiences.
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